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TERROIRS ET MAISONS DE FRANCE | |||
Pommerol (Charles) sous la dir. de | |||
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La richesse et la diversité des vieilles demeures sont telles qu'un ouvrage unique ne peut les contenir toutes. Toutefois, la vingtaine de régions envisagées ici offre un panorama suffisamment vaste pour que rien d'essentiel ne soit oublié. Les auteurs analysent les rapports entre la pierre et l'architecture. Il ne faut donc pas s'attendre à un canevas rigide où s'enferme la description de chaque type de maison, mais à des approches diverses et à des représentations variées où les relations entre les matériaux, l'architecture et le milieu sont aussi mises en évidence. | ||
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DICTIONNAIRE DES PEINTRES, SCULPTEURS, GRAVEURS ET ARCHITECTES DU LANGUEDOC ROUSSILLON | |||
LEPAGE, Jean | |||
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2700 notices d'artistes, fouillées et augmentées de l'intégralité de leurs participations aux salons nationaux et provinciaux classés par ordre alphabétique : vingt-cinq années de recherches, dix ans de vacances d'été sacrifiés, ont donné naissance à ce monument sans équivalent dans aucune autre région française. Ancien chargé de mission au musée national de la Marine, ancien chargé de cours à la Sorbonne (Paris 4), Jean Lepage fut conservateur en chef des musées de Narbonne de 1979 à 2011. | ||
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POSTES ET MESSAGERIES EN LANGUEDOC, | |||
BIARD, M. | |||
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La Poste, personnifiée comme notre Marianne nationale, est aussi attachante que le serait le sourire d'une cousine de province dans le décor de "Bienvenue chez les Ch'tis", imparfaite et familière... et qui nous réjouit autant qu'elle nous fait râler. Personne ne veut que ce sourire s'efface. On l'aime. Pourquoi tant d'engouement ? C'est une très vieille institution : projet de Louis XI, concrétisation d'Henri IV, administration par la volonté de Louis XIV. Or, en voulant la faire changer de vie, la Poste, on risque bien de la faire revenir dans les limbes. Et, pour tout dire, ses projets consistent, pour nous Français, à remettre "le vin nouveau dans les vieilles outres" depuis longtemps oubliées mais tout autant sujettes à tracasseries. Couverture aux couleurs de la Poste d'Ancien Régime : bleu roy, rouge écarlate et or. | ||
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LA NOBLESSE DU MIDI CAROLINGIEN, GRANDES FAMILLES D’AQUITAINE ET LANGUEDOC | |||
SETTIPANI, C. | |||
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Ce livre propose un tour d'horizon des grandes familles comtales ou vicomtales qui ont dominé l’Aquitaine ou le Languedoc. Avec une étude détaillée sur leurs alliances et leurs filiations. Un nouvel écrin de la science de son auteur !! Bravo. | ||
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LA REMARQUABLE ASCENSION SOCIALE D’UNE FAMILLE LANGUEDOCIENNE AU XVIIème ET XVIIIème SIECLES, | |||
GUIRAUD, J.C. | |||
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L’ouvrage montre comment, en un siècle et demi, une modeste famille du Languedoc a-t-elle pu accéder à un rang aussi élevé dans la société de l’Ancien Régime, pour devenir les marquis de Mathei de la Calmette de Valfons. | ||
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FILIATIONS LANGUEDOCIENNES | |||
VERGNETTE de LAMOTTE, H. de | |||
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Les Filiations Languedociennes représentent un ouvrage de trois volumes. Il concerne plus de 250 familles du Bas Languedoc, et plus spécialement de l’Hérault et du Gard, étudiées depuis le XIVe ou le XVe siècle, jusqu’aux XVIIIe et XIXe siècle. L'ouvrage résulte de recherches faites à partir des actes authentiques que sont les registres paroissiaux, les minutes de notaires, relevées dans les Archives départementales, les Archives Nationales, la Bibliothèque Nationale, les chartriers particuliers... Chacun des trois volumes est précédé d’une table des matières donnant le nom des familles étudiées, et suivi d’un index des alliances avec l’indication de la page pour pouvoir s’y reporter facilement. | ||
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19N089 - LA NOBLESSE LANGUEDOCIENNE, GENEALOGIES ET HISTOIRE | |||
BARTHE, F. | |||
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De génération en génération, les documents concernant la seigneurie de Lanet furent conservés précieusement par les familles seigneuriales successives. Ce volume, présente leurs généalogies, depuis la prestigieuse famille des Seigneurs de Termes, la famille Daban, la famille Darse, la famille de Grave, la famille Dauceresses de Narbonne jusqu'à la famille Barthe de Montazels. | ||
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LES PROTESTANTS DU LANGUEDOC ET LA JUSTICE ROYALE DE LOUIS XIV A LA REVOLUTION | |||
THOMAS, J. | |||
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Dès sa prise de pouvoir, Louis XIV cible les protestants et organise leur invisibilité par le biais de la loi et de son interprétation par les juges. La révocation de l’édit de Nantes (1685) parachève ce processus. Plus de culte public, les derniers temples sont détruits, les pasteurs pourchassés, l’état-civil protestant, dont le mariage, doit disparaître, remplacé par les cérémonies catholiques. Malgré tout, pendant le siècle qui mène à la Révolution, les protestants pratiquent une forme de désobéissance civile qui leur vaut peines de galères, d’enfermement, d’amendes collectives et, parfois, d’exécutions. À partir de 1760, des avocats, des juristes et des intellectuels s’engagent à leur côté et transforment un droit d’oppression en droit de reconnaissance. Leur combat en faveur des familles Calas et Sirven, et pour la reconnaissance des mariages protestants marque l’histoire de France. Avec eux, Voltaire mène de grandes batailles contre le fanatisme et pour la tolérance. Jack Thomas analyse cette histoire vue du Languedoc et du ressort du parlement de Toulouse, où vivaient de nombreux protestants. Il esquisse une riche galerie de portraits d’hommes et de femmes pris dans l’étau d’une justice longtemps partiale et de leurs défenseurs qui dénoncent son intolérance. Jack Thomas est né et a fait ses études aux États-Unis avant de se consacrer à l’histoire de France. Il est professeur émérite d’Histoire à l’Université de Toulouse-Jean Jaurès et membre du laboratoire FRAMESPA. Il est président des Amis des Archives de la Haute-Garonne et vice-président de la Fédération historique de la région Occitanie. | ||
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HISTOIRE DE FRANCE L'IMPOSTURE Mensonges et manipulations de l'histoire officielle | |||
Georges Labouysse | |||
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Les manuels scolaires d'Histoire, qui suivent scrupuleusement les instructions officielles élaborées par Paris, reproduisent depuis 130 ans, de génération en génération, une histoire mythique imaginée au XIXe siècle pour servir l'idéologie de la bourgeoisie républicaine dans son entreprise de conquêtes coloniales. | ||
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DOCUMENTS HISTORIQUES ET GENEALOGIQUES SUR LES FAMILLES ET LES HOMMES REMARQUABLES DU ROUERGUE DANS LES TEMPS ANCIENS ET MODERNES | |||
H. de BARRAU | |||
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Armorial de la noblesse du Languedoc, généralité de Montpellier | |||
LA ROQUE, Louis de | |||
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table des noms cités | ||
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HISTOIRE DE LA FAMILLE DE VILLENEUVE | |||
Maurice Vuillier | |||
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Histoire et généalogie des différentes branches de cette famille languedocienne. | ||
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HISTOIRE ET GENEALOGIE DE LA FAMILLLE DE SERS (en Languedoc) | |||
Maurice Vuillier | |||
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Histoire et généalogie des différentes branches de cette famille languedocienne. | ||
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HISTOIRE DE LA FAMILLE DE SAINT JEAN D'HONNOUX | |||
Maurice Vuillier | |||
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Histoire et généalogie détailllée de cette grande famille méridionale. | ||
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Table des dessins de blasons de l'ARMORIAL DE LA PROVINCE DE LANGUEDOC DE 1696-1700 | |||
Ch. Pioch | |||
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La situation financière catastrophique et désespérée de l'année 1696 amena la monarchie française à constituer un Armorial général du royaume par lequel chaque personne ou collectivité déjà titulaire d'armoiries, ou bien souhaitant en bénéficier pour l'avenir, serait désormais tenue de les faire valider moyennant le paiement d'une taxe d'enregistrement obligatoire dont on espérait alors tirer aux alentours de sept millions de livres, frais d'affermage compris. Un ancien généalogiste et juge d'armes, Charles d'Hozier (1640-1732) fut placé pour cela à la tête d'une grande maîtrise des armoiries chargée d'enregistrer les blasons de tout le royaume, avec leur descriptif et leur dessin. Il dressa en 1696-1709 pas moins de 69 volumes de recueils, dont 34 de descriptifs et 35 de dessins, aujourd'hui conservés à Paris. Les généralités de Toulouse et de Montpellier, qui composaient à cette époque l'immense province de Languedoc, plus une partie de la province de Guyenne (ancienne généralité de Montauban, dont Quercy et Armagnac), ainsi que le pays de Foix et le Roussillon, firent l'objet du dépôt d'environ 12 000 blasons dont les 2 452 planches de dessins, regroupées dans les deux volumes dénommés Languedoc lère et 2ème partie (volumes XIV et XV de l'Armorial). Mais, si les descriptifs des dessins concernés firent l'objet dès le XIXe siècle de diverses tables puis d'ouvrages récapitulatifs parus en 1989-1992, les tables alphabétiques relatives aux dessins eux-mêmes restaient à ce jour strictement inédites. Le présent ouvrage présente tout d'abord, en 30 pages illustrées, l'élaboration et la mise en place de cette oeuvre picturale, immense mais imparfaite, qui donne aujourd'hui couleur à ces hommes et à ces femmes de Languedoc, nobles ou roturiers, qui, par le port ostentatoire du blason, devinrent jadis des hommes et des femmes respectés et fort enviés dans la masse immense des vingt millions de pauvres et d'anonymes qui peuplaient en 1696-1700 la France des Bourbons. Il donne également la liste alphabétique inédite et les distinctifs des individus ou des collectivités concernés, avec renvoi à la page du document original, permettant ainsi à chacun d'avoir aisément accès à cette irremplaçable mémoire héraldique que constituent aujourd'hui, malgré tous ses défauts, le fameux Armorial de 1696 (ou Armorial d'Hozier). | ||
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METIERS ET GENS DE METIERS EN ROUSSILLON ET LANGUEDOC XVIIe XVIIIe | |||
dir. Gilbert Larguier | |||
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Relativement délaissés par la recherche historique depuis quelques lustres, sauf sur des points très particuliers, métiers et gens de métiers sont une des odes les plus solides et les plus représentatifs des sociétés préindustrielles. Par eux se transmettaient les savoir-faire, se forgeaient des identités fortes. L'ouvrage, à travers des études de cas portant sur le Languedoc et le Roussillon, étudie la formation des gens qui relevaient des « arts mécaniques », l'accès à la maîtrise, la localisation des artisans dans les paroisses et les rues, l'intérieur des habitations, le recrutement, l'esprit de corps facteur d'identité, gage de pérennité, parfois aussi de repli sur soi et d'affadissement de l'élan créateur, ce que l'on découvre en Roussillon avec les peintres et les sculpteurs au XVIIIe siècle après un demi-siècle étonnant par la qualité de ses productions artistiques. Cet ouvrage, attentif à montrer que dynamiques économique, urbaine, sociale, sont intimement liées, ainsi que les courants de la vie matérielle, artistique et spirituelle, tend à combler une lacune dans la bibliographie méridionale. Il intéressera d'autant plus qu'il ne se limite pas à l'étude des artisans, mais aussi aux métiers de la santé, de la justice, voire à des nouveaux venus comme les marchands juifs au XVIIIe siècle. | ||
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histoire du canal de languedoc ou du Midi | |||
Faget de Baure Jacques-Joseph | |||
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Ouvrage de référence sur l histoire du Canal du Languedoc, parut en 1805. L auteur rétablit Riquet comme l unique inventeur du Canal, ce que d aucuns avaient contesté. Le long travail préparatoire de Riquet, ses démarches auprès de Colbert et de Louis XI... | ||
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saltimbanques du languedoc | |||
fourès Auguste | |||
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" Un recueil de croquis rapidement dessinés, des gueux qui passent dans notre petit pays méridional Ces études picaresques écrites sans prétention, mais avec sincérité et d après nature parurent tout d abord dans la presse... | ||
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histoire de languedoc | |||
gachon Pierre | |||
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Dans cet ouvrage, l universitaire Pierre Gachon propose " l histoire de cet ensemble de pays tout pénétrés de culture latine : plaine toulousaine, Sud du Massif Central et Cévennes, littoral méditerranéen, qui, après avoir été, dès l aube des temps... | ||
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La vie a Toulouse sous Louis-Philippe (1830-1848) | |||
ARLET, Jacques | |||
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Non ! Toulouse ne s'est pas endormie sous le règne du Roi bourgeois. Pendant ces dix-huit ans sans guerre, Toulouse a voulu gagner les victoires de la paix. Reconstituer un grand centre universitaire, le second du royaume. Entretenir et améliorer sa réputation de « ville aux belles voix », par la création d'une école de musique ouverte à tous, et par les prestations quotidiennes d'un opéra de 1900 places. Favoriser le développement d'un artisanat de qualité, des orfèvres aux facteurs d'orgue et aux carrossiers. Maintenir une École toulousaine de peinture et de sculpture, maillon dynamique de la chaîne des beaux-arts, ininterrompue depuis les ateliers de la Daurade jusqu'à Falguière et Henri Martin. Aménager et embellir la cité par des constructions raisonnables, mais belles et équilibrées, reconnaissables à leur style, celui de Virebent et de Vitry, le style toulousain. S'adapter, enfin, aux progrès techniques dont l'accélération est en train de poindre, avec les machines à vapeur, le gaz d'éclairage, la photographie, l'asphalte, les alcaloïdes... | ||
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