CHEVRIÀˆRES (HISTOIRE DE). LA SEIGNEURIE ET LA PAROISSE DEPUIS LES TEMPS LES PLUS RECULES JUSQU’À  NOS JOURS

L'ABBE CHARLES SIGNERIN

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1894. On Evoque souvent aujourd’hui ” le devoir de mEmoire ” ; mais l’abbE Signerin, lui, pour qui cette exigence Etait implicite, voit aussi dans le travail de l’historien, le plaisir de mEmoire : celui qu’il Eprouve en examinant les vestiges du château de Chevrières (par exemple), ” deux tours qui ont rEsistE aux ravages du temps et des rEvolutions “, une pierre ” chargEe de diverses moulures ” et la superbe porte Renaissance (illustration dans le livre), au-dessus de laquelle ” s’Etale l’Ecusson des Mitte de Chevrières “, seigneurs des lieux à  l’Epoque. Son ouvrage, qui englobe aussi le reste du patrimoine architectural de la citE, ne se rEduit naturellement pas à  cela ; il fait revivre l’histoire du terroir dans sa totalitE : d’abord, le village, qui garde ” quelque chose de fEodal ” et son environnement, puis les us et coutumes forEziens, l’Etat de la paroisse en 1697 et celui de la commune en 1894, ainsi que les tenants de la seigneurie, de la famille de Malvoisin (dEbut du XIe siècle) jusqu’à  celle des de la Chance-Chevrières, à  l’aube de la REvolution, en passant par d’autres maisons tout aussi illustres. Le foisonnement des faits, des anecdotes et des personnages ne nous permet pas de tout citer ici, mais nous n’aurions garde d’oublier les dEveloppements passionnants qui concernent ” les origines et les diverses transformations de l’Eglise de Chevrières ” (la chapelle seigneuriale devient une Eglise paroissiale au XIIIe siècle), le sac du village en 1465 par les troupes du duc de Bourbon, la paroisse sous la Terreur, le projet de destruction de l’Eglise n’Etant pas passE dans les faits, grâce à  la vigilance des ” hardis VendEens de notre Forez “, ou encore la formidable EpopEe que fut l’histoire de cette même paroisse du XIIIe au XIXe siècle : Evocations biographiques de tous les curEs, vicaires et fabriciens, travaux dans l’Eglise et dans le presbytère, courage et zèle de l’abbE Antoine Guillot (1783-1802), fondation de l’Ecole des Frères maristes, œuvre de la Soupe des enfants pauvres, Ecoles paroissiales dès les dEbuts de l’ère chrEtienne… © Micberth

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