CHRONIQUE DES HOSPITALIERS ORDRE DE SAINT-JEAN-DE-JERUSALEM DE RHODES ET DE MALTE, APERCU DES MOEURS ET INTRIGUES DES COURS D’EUROPE DU XE AU XVIE SIÈCLE

CARON (MAURICE)

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Juillet 1099. Tandis que les croisEs rescapEs prennent
d’assaut JErusalem, qu’ils mettent à  sac dans leur folie
meurtrière, frère GErard, dEjà  appelE « l’hospitalier », poursuit inlassablement son oeuvre de bienfaisance en plein coeur de la tourmente, des massacres et des incendies. Soigner malades et blessEs des deux camps, telle est la mission qu’il s’est imposEe. Ainsi naà®t la première association d’aide humanitaire : l’Ordre de Saint-Jean-de-JErusalem.
Des combats en Terre sainte aux batailles navales en MEditerranEe, cette fresque narre le parcours de l’Ordre au fil des siècles. Les chevaliers-soldats jurent de ne jamais reculer, de combattre à  un contre trois, de ne jamais se rendre, de ne jamais baisser la bannière de l’Ordre.
Devenus moines-marins, ils sont de toutes les batailles et redoutEs des plus illustres corsaires et pirates. Et s’ils en sortent vainqueurs, ce n’est souvent qu’au prix du sacrifice de nombre d’entre eux.
Juin 1565. Au lever du soleil, jour de la Saint-Jean, fête de l’Ordre des moines et de leur saint patron, un spectacle odieux attend les assiEgEs du fort Saint-Ange. Ils dEcouvrent, flottant sur le chenal, clouEs à  des pièces de bois, les cadavres de leurs frères morts au Saint-Elme. LesTurcs les ont revêtus de leur soubreveste rouge de combat mais, au-dessous, les Hospitaliers ont la poitrine ouverte en forme de croix. Tous ont le coeur arrachE, la tête tranchEe.

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