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Année de parution | 2005 |
1948. Plus de dix ans avant la rEvolution de 1848, » la tempête des idEes » souffle dans la citE charentaise : dès 1837, Sire fonde le Journal de Confolens, qui paraà®tra toujours un siècle plus tard, le jeune Babaud-Laribière, dans un Petit Courrier, rEclame l’ouverture d’un thEâtre (une idEe qui prendra corps au dEbut du XXe siècle) et les problèmes sociaux sont dEbattus partout, d’autant qu’une » nuEe de pauvres » envahit la ville. Les EvEnements parisiens de fEvrier et de juin 1848 auront une incidence considErable dans le dEpartement de la Charente et plus particulièrement sur les Confolentais et c’est cette pEriode à la fois exaltante et troublEe (de 1848 au 2 dEcembre 1851) qui est relatEe ici en dEtail, dans les chapitres intitulEs La rEvolution de fEvrier, puis La REpublique-Eclair, La vie municipale (misère publique, retards dans le versement des subventions, enseignement primaire et collège…) et Villechaise, asile de la libertE, la terre de Babaud-Laribière. Mais outre ce rEcit riche en anecdotes (un complot imaginaire à Confolens), en personnalitEs marquantes (Rateau, de Chamborant, Bellanger, Pougeard…) et en faits politiques majeurs dans l’histoire de la ville (l’offensive des partis dEmocratiques), les consEquences multiples de l’action des quarante-huitards sont, elles aussi prises en compte : action policière en Charente, Babaud-Larivière et le père de l’auteur très proches de l’opposition, » la marEe libErale ne cesse de monter « , les gendarmes sont conspuEs par la foule confolentaise (1868), une souscription est ouverte en faveur des victimes de la guerre (1870), la loge maçonnique locale est très active ; par ailleurs, en dEpit de cette effervescence sociale et politique et des difficultEs financières, les amEliorations dans la vie collective sont nombreuses : construction d’un palais de justice, Eclairage public, bureau de bienfaisance et nouvelle gestion de l’hôpital, bureau de poste et tElEgraphe… © Micberth