CUNAULT, TRÀˆVES ET SAINT-MACE. LEUR HISTOIRE, LEURS MONUMENTS

T.-L. HOUDEBINE

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1927. Le terroir de Chênehutte-Trèves-Cunault, situE au nord-ouest de Saumur, dans le dEpartement du Maine-et-Loire, possède de tels atouts naturels (forêts, rives et à®les de la Loire, vignes et vergers…), mais aussi artistiques, de l’ancien prieurE de Chênehutte jusqu’à  l’entrEe du bourg de Trèves, en passant par l’Eglise Notre-Dame de Cunault (clocher du XIe siècle, tympan sculptE, nef, chœur et dEambulatoire du XIIIe…), que les visiteurs ont l’embarras du choix pour explorer la rEgion ou admirer les chefs-d’œuvre de l’architecture civile et sacrEe. Toutefois, cette vision de beautE et de vie heureuse , que l’on retrouve dans le livre de l’abbE Houdebine, est toujours marquEe du sceau de l’histoire : et même si l’on sait fort peu de choses des anciennes origines de Cunault, les premiers documents connus Evoquent un petit monastère, dans la chapelle duquel se trouvaient des reliques de saint Martin et de saint Maxenceul, qui se dEveloppa du IXe au XIe siècle, devenant prospère au XIIe, mais subissant ensuite les effets de la guerre de Cent Ans, ceux des affrontements religieux et l’affaiblissement des vocations.Après le rEcit de ces EvEnements, c’est surtout l’Eglise priorale de Notre-Dame que l’auteur Etudie : à  l’extErieur et à  l’intErieur, dans ses ElEments dEcoratifs (travEes, clefs de voà»tes, chapiteaux), son dEcor pictural (porte du cloà®tre, absidioles et peintures), son mobilier (tribune, stalles, statues, PiEta) et son TrEsor. Il Evoque ensuite son destin, après la suppression du prieurE (1741), en particulier la difficultE pour assurer son entretien, la mise en vente d’une partie de l’Edifice et sa restauration à  partir de 1850. Puis il dEcrit les bâtiments du prieurE, le logis de Pierre Cottereau (XVIe siècle), le château, l’ancienne Eglise de Saint-Maxenceul et la chapelle Sainte-Catherine. La deuxième partie de son ouvrage Etant consacrEe à  Trèves, à  l’histoire de sa paroisse et de son Eglise paroissiale, à  celle du prieurE de Saint-MacE et de son château, qui fut amEnagE par Robert le Maçon, restaurE par Pierre de Laval et dEmantelE par Jean Stapleton et dont le seul vestige est une tour-donjon. © Micberth

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