MEILARS-CONFORT (SES MONUMENTS, SON HISTOIRE) ET MAHALON (UNE PAROISSE FINISTERIENNE)

L'ABBE CORENTIN PARCHEMINOU

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1931 et 1933. Irremplaçable travail que celui de l’abbE Parcheminou sur les villes et villages du Finistère et ici, plus particulièrement, sur Confort-Meilars (auparavant Meilars-Confort) et Mahalon ! Comment, sans ces documents de rEfErence, les habitants de ces localitEs retrouveraient-ils tout ce qui a constituE leur passE ? Et comment, sans ces prEcieux sEsames, les nombreux touristes connaà®traient-ils cette rEgion, son histoire et ses monuments, seuls vestiges de ce qui a EtE ? D’abord le territoire de Meilars-Confort que l’auteur nous fait visiter (1 468 ha), puis l’histoire (lEgendaire) de saint MElar qu’il relate avec Emotion, ainsi que son culte qui s’est rEpandu ” dans les deux Bretagnes “, et les Eglises de Meilars, au-dessus de la vallEe du Goyen, et de Confort (joli clocher ajourE haut de 32 m) qu’il dEcrit avec la plus grande prEcision. Ensuite, l’ossuaire, au bas de l’Eglise, le calvaire (devant la façade), la chapelle de Saint-Jean et les anciens manoirs de Meilars, Kernonen, Guizec, Castellien, Lesveilars, KervEnargant ; les tumulus Etant, eux aussi, rEpertoriEs, comme les pierres taillEes, et les dEbris (tuiles, poteries) de l’Epoque gallo-romaine. La ville est naturellement EvoquEe, avant et pendant la REvolution (il faut ” rEparer les ruines accumulEes “), avec les membres du clergE depuis le XVe siècle, l’Ecole et les derniers recteurs et vicaires de Meilars. De la même manière, Mahalon, prEsentEe dans un vaste panorama global, historique, gEographique et dEmographique, a Ecrit son histoire à  travers une floraison de pierre : l’Eglise Saint-Magloire, tout d’abord, d’Epoque romane, mais reconstruite en partie en 1772, la chapelle Saint-Pierre du XVe siècle (joli clocheton à  petite flèche bosselEe au-dessus de la porte de la façade ouest), les chapelles disparues, comme celle de Saint-Tugen dEtruite à  la REvolution, les croix et les fontaines (de Saint-Fiacre et de Saint-Vinoc), et l’aumônerie qui subsista jusqu’au XIVe siècle. Les anciens recteurs, curEs et prêtres, sont recensEs par l’abbE Parcheminou de 1390 à  1795, la pEriode rEvolutionnaire est retracEe (histoire de l’abbE TrEhot, ” recteur forcenE “) et les vieux manoirs sont longuement dEcrits (comme celui de Kerandroan). © Micberth

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