PLOUZANE ET LOCMARIA-PLOUZANE. MONOGRAPHIE DES DEUX PAROISSES

LE CHANOINE HENRI PERENNÈS

12,00

UGS : 3424 Catégories : ,
Partager :

1942. Sites exceptionnels par leur beautE et leur diversitE, riches en zones de loisirs, d’excursions et d’activitEs sportives, les communes de PlouzanE et de Locmaria-PlouzanE, qui ont (aussi) fait le choix de la technologie (technopôle Brest-Iroise pour la première et programme ITR pour la seconde), sont dotEes par ailleurs d’un patrimoine architectural variE et foisonnant qui fait l’admiration de leurs nombreux visiteurs. Cette cohabitation harmonieuse entre le prEsent et le passE apparaà®t clairement lorsqu’on feuillette l’indispensable sEsame historique du chanoine PErennès, illustrE par M. le vicomte Frotier de la Messelière. Grâce à  lui, les monuments les plus anciens des deux localitEs prennent tout leur sens (menhirs, bEtyles, pierres levEes et tumulus, dEcrits et localisEs avec prEcision) et l’histoire des seigneuries et des manoirs est retracEe : CoatEnez, le château du Diable et sa fontaine, feunteun an diaoul, sur le terroir de PlozanE ou le manoir de KervasdouE, portant les armes des Kerguiziau, sur les terres de Loc-Maria-PlouzanE, par exemple. Les Eglises paroissiales sont, elles aussi, longuement EvoquEes, ainsi que les nombreux autres Edifices religieux (chapelles, calvaires et croix), tEmoins superbes de la foi chrEtienne qui a fondE la sociEtE bretonne. Ainsi, le touriste de ce dEbut de 3e millEnaire qui dEcouvre les lieux, livre en main, peut mesurer toute l’importance des deux paroisses (Loc-Maria-PlouzanE, ancienne trève de PlouzanE, devint, en 1802, une paroisse indEpendante), mEditer sur l’anciennetE de l’habitat local et constater que l’Energie constructive des origines et des diffErentes Epoques qui suivirent n’est en rien diffErente de celle qui prEvaut aujourd’hui. Quant au dynamisme associatif, si prEsent actuellement dans les deux communes, il existait dEjà  dans les confrEries religieuses d’autrefois (confrErie du Saint-Rosaire Etablie en 1634, du Scapulaire en 1804, de Notre-Dame des ArmEes en 1890, de la Sainte-Famille en 1901 ou du SacrE-Cœur de Montmartre en 1912). Sans doute la vie sociale s’est-elle diversifiEe, mais la volontE d’action reste la même : celle que manifesta PlouzanE jadis, face au pouvoir rEvolutionnaire, et dont tEmoigne la chanson satirique qui clôt l’ouvrage. © Micberth

Informations complémentaires

Siècle