RIVE-DE-GIER (HISTOIRE DE LA VILLE, DU CANTON ET DE SES PRINCIPALES INDUSTRIES)

CLAUDIUS CHOMIENNE

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1912. Rive-de-Gier ” est un centre industriel actif qui compte de nombreuses exploitations de houille, des verreries à  vitres et à  bouteilles, des gobeletteries et enfin de grandes forges o๠l’on fabrique du matEriel d’artillerie, des chemins de fer et tramways, ainsi que des pièces diverses destinEes aux ateliers de construction “. Cette Evocation dense et concise de la ville natale du cElèbre ingEnieur Jean-Baptiste Berlier, au dEbut du XXe siècle, donne le ton à  tout cet ouvrage consacrE à  ce chef-lieu de canton du dEpartement de la Loire, situE à  23 km de Saint-Etienne et à  36 km de Lyon. Il ne s’agit pas, en effet, ici de retracer l’histoire de la ville depuis ses origines jusqu’à  nos jours, mais de dEcrire, avec une richesse de dEtails remarquable, son essor industriel, Etonnant au XIXe siècle, et tout l’environnement qui le caractErise, ouvrier, bourgeois, civil, religieux, financier, administratif, culturel, associatif, sans oublier ses racines historiques : appartenance du bourg à  l’EvêchE de Lyon dès le XIIe siècle, château et enceinte fortifiEe à  la même Epoque, existence de houillères au XIIIe siècle, rEjouissances publiques au XVIIIe siècle. Naturellement, le reste du canton, tient, lui aussi, une grande place et les notices concernant les communes de Cellieu, La Cula, Chagnon, Châteauneuf, Dargoire, Farnay, Grand’Croix, Lorette, Pavezin, Sainte-Croix, Saint-Genis-Terrenoire, Saint-Joseph, Saint-Martin-la-Plaine, Saint-Paul-en-Jarez, Saint-Romain-en-Jarez et Tartaras donnent des informations complètes, topographiques, historiques, Economiques, architecturales, dEmographiques et pittoresques sur ces localitEs. Quant aux voies de communication et aux modes de transport, ils font l’objet de dEveloppements tout aussi prEcis : canal de Givors, canal de jonction de la Loire au Rhône, chemins de fer et autres vEhicules utilisEs, routes et chemins qui se sont multipliEs et amEliorEs à  partir de 1840. Une partie de l’ouvrage (très importante) est consacrEe à  la vie industrielle de la vallEe (mines et verreries, quincaillerie et mEtallurgie, automobiles et produits rEfractaires, jouets, bijouterie fantaisie et fabrication de crayons…) et l’auteur termine par l’Evocation des syndicats, associations ouvrières, bourses du travail, grèves.© Micberth

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