SAINT-HONORE-LES BAINS (GUIDE PITTORESQUE ET MEDICAL)

DR HENRY COLLIN

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1941. Il y a bien des façons de soigner: même dans une station thermale comme Saint-HonorE-les-Bains o๠l’on traite les maladies des voies respiratoires, celles qui rEclament des compEtences en rhumatologie et les sEquelles des traumatismes ostEo-articulaires. C’est ce que nous apprend l’auteur de cet ouvrage qui nous dEcrit, en long et en large, les installations et le fonctionnement de l’Etablissement constituE à  partir des cinq sources, dont les noms sont la Crevasse, l’Acacia, les Romains, la Marquise et la Grotte, les caractères physico-chimiques des eaux, les diffErents traitements, la durEe des cures, le choix de la saison… Tout cela est (certes) fort important, mais ne saurait faire oublier le rôle essentiel jouE aussi par la beautE du site et la qualitE de l’environnement. C’est pourquoi le Dr Collin Evoque d’abord le bourg de Saint-HonorE, &#171 dominE par le clocher de son Eglise romane et le pignon aigu de l’ancien fief du GuE &#187, le parc immense qui met en communication le village et les thermes, le Deffend, bois de haute futaie, les monts Bezantin et Genièvre, les Equipages qui sillonnent le parc, le casino et les petits chevaux… D’autant que les nombreux visiteurs de la localitE et de ses environs ne sont pas tous des &#171 baigneurs &#187 : il y a les promeneurs qui apprEcient les forêts et les vallEes pittoresques, le climat assez doux et les senteurs balsamiques ; les passionnEs d’archEologie attirEs par les fouilles (de 1886 par exemple) qui ont mis à  jour des vestiges gaulois (poteries, monnaies Eduennes…) et celles qui ont permis de dEcouvrir les substructions d’un Etablissement romain (1820 et 1886-1887) ; le guide du Dr Collin donnant toutes les prEcisions à  ce sujet, ainsi que sur tous les grands moments du passE de Saint-HonorE, depuis les invasions des Vandales (Ve siècle) jusqu’à  la fin du XIXe, avec les incursions des Sarrasins (VIIIe siècle), la dEpendance à  l’Egard du prieurE (XIe siècle) et l’acquisition des sources par Jean-Marie Salonnyer de Montbaron, le 1er juillet 1770. Quant aux amateurs d’excursions, ils seront comblEs : de Champrobert au mont Beuvray, en passant par le Prabis, les ruines de Thouleurs, l’Eglise de SEmelay et la butte de MontEcho, Château-Chinon, Moulins-Engilbert et ses environs. © Micberth

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