VENDOMOIS IV (DICTIONNAIRE DU) V-Z

RAOUL DE SAINT-VENANT

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Le tome IV du Dictionnaire de Raoul de Saint-Venant (1845-1927), prEsentE ici, est surtout consacrE à  Vendôme. Outre le patrimoine architectural somptueux de la ville, l’histoire même de l’ancien Vindocinensis Pagus carolingien, devenu très tôt un comtE relevant d’Hugues Capet, qui le donna à  Bouchard le Vieux, avant qu’il ne passe sous la domination anglaise (en 1128) avait toujours eu une dimension nationale. RattachE au domaine royal par Philippe Auguste (en 1214), c’est le mariage du comte Jean de la Marche avec Catherine de Vendôme qui le transfEra dans la maison de Bourbon et en 1515, le comtE de Vendôme devint duchE. DonnE en apanage, en 1598, à  CEsar, le fils naturel d’Henri IV, il fut rEuni dEfinitivement à  la Couronne, en 1712. Une pErennitE aussi glorieuse, constamment liEe au sort de la France ne pouvait laisser indiffErent l’auteur du Dictionnaire et nous retrouvons au fil des pages qui traitent, dans ce volume, de tous les aspects de la capitale du Vendômois, à  travers le temps et l’espace, les personnages qui s’y sont illustrEs, les EvEnements qui s’y sont dEroulEs, les Edifices civils et religieux qui l’embellissent, les ponts, les moulins, les canaux et les rues qui font partie de l’agglomEration. Les diffErentes rubriques Etant naturellement enrichies de dates, de chiffres, d’Evocations historiques, d’anecdotes, de prEcisions topographiques, d’EnumErations des membres des diffErentes autoritEs, de filiations gEnEalogiques, EtayEes par des rEfErences d’archives. L’auteur n’en oublie pas pour autant le pays du Vendômois, Villavard, oà¹, sous l’Ancien REgime, les nouveaux mariEs devaient au seigneur un Eteuf (une balle recouverte de peau) et cinq sols, La Ville-aux-Clercs, arrosEe par le ruisseau de Gratteloup et par o๠passait l’ancienne route de Paris-Bordeaux, jusqu’au troisième quart du XVIIIe siècle, Villeporcher o๠se trouvait la maison familiale des Saint-Venant et qui a une histoire riche et ancienne, Villeromain o๠il ne reste aucune trace d’habitation seigneuriale, enfin Villiersfaux, dont le patron est saint Etienne, premier martyre chrEtien qui fut accusE d’avoir blasphEmE et fut lapidE environ 9 mois après la mort de son maà®tre, JEsus-Christ.© Micberth

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