GENEALOGIES LIMOUSINES ET MARCHOISES – TOME XIX,

RUCHAUD, J.L.

60,00

UGS : 2012909 Catégories : , , ,
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Dix Neuvième volume de cette merveilleuse sErie !!
A ne pas manquer.
Nous proposons un dix-neuvième volume prEsentant six gEnEalogies :
− BAILLOT du QUEYROIX et d’ESTIVAUX (73 pages). Famille de la plus notable bourgeoisie de Limoges (HteV.), citEe dès 1314, dont nous suivons la filiation depuis 1402. Elle s’est divisEe en de nombreuses branches, dont
seule subsiste la branche Baillot d’Estivaux, anoblie par charge au XVIIIe siècle (noblesse inachevEe).
− BARDOULAT de LA SALVANIE et de PLAZANET (43 pages). Famille originaire d’Eymoutiers (Hte-V.), citEe
dès 1434, dont nous suivons la filiation depuis le dEbut du XVIe siècle. PassEe à  Tulle (Corrèze) au XVIIe siècle, la
branche de la Salvanie, anoblie par charge à  la même Epoque, est en voie d’extinction. Les Bardoulat de Plazanet,
issus de la branche de la Salvanie, restEs bourgeois, semblent s’être Eteints au cours du XXe siècle.
− GAYAUD du MAUBERT, de MOURNE et des ARSES (35 pages). Nous suivons cette famille bourgeoise à 
Bourganeuf (Creuse) depuis le dEbut du XVIe siècle. Elle s’est divisEe en plusieurs branches, dont celle des sieurs de
Mourne, qualifiEs Ecuyers au XVIIIe siècle, Eteinte en 1850, et celle des sieurs des Arses, Eteinte en 1846.
− JOUFFRE de CHABRIGNAC et de MACHAT de POMPADOUR (86 pages). De noblesse d’ancienne extraction, les
Jouffre de Chabrignac sont originaires de Noailhac, dans la vicomtE de Turenne (Corrèze), o๠ils sont citEs dès le
XIIe siècle. Leur filiation suivie remonte au dEbut du XVe siècle et ils se sont Eteints en 1841. D’eux est issue la
famille de Machat, substituEe aux premiers Machat au XVe siècle puis aux Pompadour de Château-Bouchet au
XVIIIe siècle. Très EprouvEs par la REvolution, les Machat se sont Eteints en 1856.
− de LA ROMAGàˆRE (47 pages). Cette famille de noblesse d’extraction, dont le nom primitif Etait Vermonet, est
arrivEe en PErigord à  la fin du XVe siècle, à  la suite d’Alain d’Albret, venant sans doute de Normandie. Assez
nombreuse, elle s’est rEpandue en PErigord, Limousin et Angoumois, avant de s’Eteindre en 1826.
− ROUX de LUSSON et de REILHAC et de ROUX (129 pages). Cette famille d’extraction chevaleresque est
originaire de la rEgion de Nontron (Dordogne), qui relevait de la vicomtE de Limoges, o๠elle est mentionnEe dès le
haut Moyen-à‚ge. Très prolifique, elle donna de très nombreuses branches en PErigord, Limousin, Poitou et
Angoumois. Elle n’est plus reprEsentEe que par ses branches Roux de Reilhac, encore assez nombreuses, et sa
branche Roux de la Croze, connue sous le nom de « de Roux ».

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Siècle