GENEALOGIES PERIGOURDINES, TOME VIII

BLIGNIERES, G. de ; MAILLARD, N; de ; MORAND du PUCH, C. ; PIRAUD, C.H. & RUCHAUD, J.L.

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En continuité avec l’œuvre du comte de Saint-Saud, une équipe de généalogistes et historiens régionaux publie ses recherches sur les familles du Périgord. Voici le quatrième volume, présentant quatre nouvelles familles :  Les BOURDEILLE (196 pages). L’une des plus illustres et des plus anciennes familles du Périgord qui possédait l’une des quatre baronnies de la province et dont la généalogie remonte aux premières années du XIe siècle. Elle a donné de nombreux hommes de guerre, plusieurs sénéchaux du Périgord et le célèbre Pierre de Bourdeille, seigneur de Brantôme, auteur de La vie des dames galantes. Divisée en six branches, elle s’est éteinte avec Henri, marquis de Bourdeille, mort sans alliance en 1947. Les grandes nouveautés que nous apportons sont la démonstration que les Bourdeille étaient en réalité des Chabrol, seigneurs de Châlus (Hte-Vienne), substitués aux premiers Bourdeille à la suite du mariage d’Almodie, dame de Bourdeille, dernière de sa famille, avec Bernard Chabrol vers 1125, et l’étude totalement inédite d’un lignage vicomtal, lui-même substitué à une branche cadette des Bourdeille par le mariage vers 1210 de Tharis de Bourdeille avec Adémar, fils cadet du vicomte Adémar V de Limoges. Celui-ci revendiqua sans succès la tutelle de son neveu Guy VI de Limoges, et ses fils furent les acteurs majeurs d’une série de conflits contre la vicomté, soutenue par le roi de France, tout au long de la seconde moitié du XIIIe siècle, qui se conclurent par leur éviction.  Les CHALUP (118 pages). L’une des plus marquantes familles de Périgueux, ville a qui elle a donné cinq maires et de très nombreux consuls, où elle apparaît dès 1309 mais dont nous remontons la filiation suivie au dernier quart du XVe siècle. Elle s’est divisée en huit branches, dont deux furent maintenues nobles, l’une en 1669 et l’autre en 1705. Cette dernière branche subsiste de nos jours très honorablement dans la région de Brantôme.  Les LARMANDIE (86 pages). Famille d’extraction chevaleresque, dont le nom primitif était Armand, attestée dès le XIIIe siècle dans la châtellenie de Miremont. Elle s’est divisée en quatre branches qui ont toutes adhéré au XVIe siècle au protestantisme, religion à laquelle ses représentants restèrent fidèles jusqu’à la veille de la Révolution. Cette famille s’éteignit avec Léonce, comte de Larmandie (1851-1921), dont les trois fils moururent pour la France, les 4 juillet et 4 novembre 1918 pour deux d’entre eux, et en 1920, des suites de ses blessures, pour le troisième.  Les MALET de CHÂTILLON (32 pages). Cette famille, éteinte en 1789, est issue de Jean Malet, seigneur de Chatillon, marié vers 1490 avec Andrée Faure, frère puîné d’autre Jean Malet, seigneur de La Jorie (en Saint-Médard-d’Excideuil), marié vers 1480 avec Souveraine de Lajaumont, auteur des Malet de La Jorie et des Malet-Roquefort actuels. La plupart des généalogistes ont estimé, à tort, que les Malet de Chatillon étaient différents des Malet de La Jorie. Cette notice est uniquement consacrée aux Malet de Chatillon, mais nous donnons la généalogie des Malet de La J orie, avec une étude sur leur origine, jusqu’au détachement des Malet de Chatillon.

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