LA DESCENDANCE DE FREDERIC-EUGÈNE, DUC DE WURTEMBERG

ROCHA CARNEIRO, M. DA

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Si les rois de Wurtemberg ont quelquefois cru qu’ils descendaient d’un maire du palais de Clovis, si on rencontre des fEodaux de leur nom dès 1083, si leur filiation est historiquement prouvE à  partir d’Ulrich Ier le fondateur (1240-1265), la maison royale de Wurtemberg, de fait, ne connut un vrai rayonnement qu’avec le duc FrEdEric-Eugène (1732-1797) et son Epouse DorothEe von Hohenzollern (1736-1798), fille du Margrave de Brandebourg-Schwedt. La maison de Wurtemberg se divise alors en cinq branches, toutes issues du duc FrEdEric-Eugène :

– La branche aà®nEe, dont l’auteur est le duc FrEdEric II, roi de Wurtemberg sous le nom de FrEdEric Ier, s’Eteindra en 1921.

– La seconde branche, dite des ducs de Teck, a pour auteur le duc Louis (1756-1817 ; Eteinte en 1980, elle Etait reprEsentEe par la descendance du duc Alexandre (1804-1885) et de son Epouse morganatique la comtesse Claudine Rhedey de Kis Rhede (1812-1841).

– La troisième branche, dite première ligne ducale, a pour auteur le duc Eugène 1758-1822) elle s’est Eteinte en 1903.

– La quatrième branche, dite des ducs d’Urach, a pour auteur le duc Guillaume (1761-1830) ; elle est toujours reprEsentEe par la postEritE non dynaste de ce prince et de son Epouse morganatique Wilhelmine Rhodis, baronne von Thunderfeld (1777-1822).

– La cinquième branche, dite seconde ligne ducale, a pour auteur le duc Alexandre (1771-1833) ; elle est devenue branche aà®nEe à  la mort du roi Guillaume (1842-1921).

FrEdEric-Eugène et son Epouse eurent douze enfants. Monique da Rocha Carneiro dresse ici leur descendance ou, plus prEcisEment, celle des sept enfants du couple ducal qui eurent une postEritE, recensant ainsi plus de 9 500 descendants.

Le sang de cette illustre dynastie se perpEtue dans les maisons impEriales d’Allemagne, d’Autriche, du BrEsil, de France et de Russie, mais aussi dans les maisons royales de Bavière, de Belgique, de Danemark, d’Espagne, de Grande-Bretagne, de Grèce, de Hanovre, de Norvège, des Pays-Bas, de Prusse, de Roumanie, de Saxe, de Suède et de Yougoslavie dans les familles grand-ducales de Bade, de Hesse, de Luxembourg, de Mecklembourg, de Lippe, de Reuss, de Saxe-Cobourg et Gotha, de Schaumburg-Lippe, de Waldeck et Pyrmont et de Wied ; dans les maisons mEdiatisEes : Auersperg, Castell, Croà¿, Erbach, Hohenlohe, Isenburg, Leiningen, Lobkowicz, Lowenstein-Wertheim-Rosenberg, Ortenburg, Quadt zu Wykrat und Isny, Stolberg, Tour et Taxis, Tà¶erring-Jettenbach, Waldburg zu Zeil und Trauchburg… ; dans les plus grandes familles de la noblesse europEenne.

Il est à  noter que dans les veines de l’hEritier du trône de France coule aussi le sang de Wurtemberg, mais suprême facEtie de l’Histoire, dans celles de l’hEritier en second du trône de Wurtemberg, le duc Guillaume, sont rEunis le sang de la branche aà®nEe royale, aujourd’hui Eteinte, et celui de la branche cadette devenue royale en 1921, par l’union de ses parents, la princesse Marie et le duc FrEdEric de Wurtemberg.

Contribution à  l’histoire politique et sociale, l’ouvrage, avec une table de 10 200 noms citEs, constitue un prEcieux gisement pour les amateurs de gEnEalogie.

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