Voici un nouveau chapitre de l’histoire de Toulouse et des Toulousains au XIXe siècle. Le XIXe siècle a été mal jugé, à  Paris, o๠ce siècle a même été considéré comme  » stupide » et à  Toulouse, o๠l’on a pu écrire que la ville n’était alors qu’un grand village ! Ce livre démontre le contraire. En vérité, au XIXe siècle, sous le Second Empire, Toulouse a participé -à  sa place, qui était grande, celle d’une capitale – aux progrès de l’éducation et de la créativité manifestés par les Français de tous bords dans ce siècle foisonnant. Au Second Empire, comme aujourd’hui, Toulouse était déjà , ou encore, la deuxième ville de France pour l’enseignement supérieur. Au Second Empire, comme au XVIIIe siècle, Toulouse maintenait et développait ses structures artistiques, opéra, conservatoire de Musique, école des Beaux-Arts, écoles de peinture et de sculpture. Et Toulouse était une ville de fêtes, de foires et de spectacles. Au Second Empire, Toulouse fut un centre industriel et artisanal de haut niveau, spécialement dans le domaine de la carrosserie, de la chapellerie, de la bijouterie, de l’ébénisterie.